vendredi 11 novembre 2011

 




Don't be afraid of the dark ! But I can"t arrive ! I need help, I need hope when I'm in the totally black but I rest needless and hopeless !
I don't find the light. I don't know to turn on it !  I'm a little boy with no green haires when I'm in the dark !
Don't be afraid of the dark. Don't be afraid of me ! A don't bit !

I don't like to be on your spotlight

Chanson de Jennifer Hudson, reprise par Amber Riley (Mercedes Jones) dans Glee,


Are you a man who loves
And cherishe
And cares for me?
Is that you? Is that you?
yeah...
Are you a guard in a prison
Maximum security?
Is that you? Is that you?
yeaeh...
Do we stay home all the time
Cuz you want me to yourself?
Is that you? Is that you?
yeah...
Or am I locked away
Out of fear that i'd find
Someone else
Is that you? Is that you?
yeah...


Chorus:
boy, I don't like
Living under your spotlight
Just because you think
I might find somebody worthy
Oh, I don't like
Living under your spotlight
Baby, if you treat me right
You won't have to worry

is this a relationship
Fulfilling your needs
As well as mine
Is that you? Is that you?
yeah...
Or is this just my sentence
Am I doing time?
Is that you? Is that you?
yeah...
If this is love
Real, real love
Then I'm staying no doubt
Is that you? Is that you?
yeah...
But if I'm just love prisoner
Then I'm busting out
Is that you? Is that you?
yeah...

(...)
Cuz baby, I don't lie



lundi 24 octobre 2011

The Little Boy with Green Hairs, Chapitre Inconnu : Narcissa Anonymus III

Le Petit Garçon aux cheveux verts traversa la porte qui se tenait devant lui, le voyage ne dura pas assez longtemps que pour dire abracadabra.

Il était arrivé dans une plaine, très grande et au loin il voyait une forêt qui s'étendait a l'horizon, il aperçut de la fumé encore plus loin. Il comprit dès lors qu'il devait y avoir un foyer avec une cheminé ... en tous cas, il l’espérait. Ça lui prit exactement 42 minutes pour arriver de l'autre coté de la forêt, au village de Nos-os-en-bourg.

Au centre de cette petite bourgade, il y avait devant le parvis de l'église, un puits où puisait de l'eau les villageois... et assis sur ce dernier, un homme grand, mal habillé, ou bien plutôt portant de vieux beaux habits. Sa chevelure étaient longues, de couleur châtain, ces cheveux semblaient sales, plaqués sur la tête jusque sur son dos. Même s'il avait l'air de vivre dans la rue, ces habits s'ils avaient étés propres avaient l'air d'être beaux et même chers. Il avait l'air triste et seul.

Le jeune voyageur s'approcha de lui et plus il s'approchait, plus il remarquait qu'avant, il devait être un séduisant jeune homme.

- Comment allez-vous monsieur ?

- Mal... Je vais mal. Je pense que je n'ai rien fait de mal. A moins que je m'y suis mal pris. Vous savez ; je ne suis pas méchant. Lui répondit-il. Le Garçon avait été surpris de la réponse de l'homme, mais il voulait savoir ce qu'il lui était arrivé.
- Que s'est-il passé pour que dites ça ? Lui demanda-t-il alors.

Et après un long sourire charmeur qui avait l'air de l'illuminer il dit :

- J'ai eu des problèmes avec un certain Narcissa Anonymus troisième du nom et je vais te raconter son histoire...


Il était une fois un jeune homme né d'une longue noblesse, à sa naissance le peuple fut tellement heureux car il était dit que le Baron et la Barrone ne pourraient jamais enfanter. Dès lors lorsqu'ils le purent, les parents donnèrent un bal à son honneur. 

Tout le gratin de Nos-os-en-bourg et ses alentours vinrent le voir et faire la fête. Il s’appelait Narcissa Anonymus III comme son arrière grand-père et son arrière arrière grand père avant lui.

Le bal se passa bien, et aux alentours de minuits, les Dwilds firent leur entrée, tous se retournèrent sur leur passage ; les femmes par jalousie et les hommes par envie. En effet, les Dwilds étaient des femmes connues pour les grande beauté, et pour la grandeurs de leurs jambes. Elles n'avaient rien d'humain, à part leurs apparences, ni rien de dieu de leurs existences mais vous n'auriez jamais su voir quelqu'un d'aussi beau. Bien avant ça, le Baron avait donné la moitié de ses terres à ces femmes et depuis, elles lui devaient en service. Le Baron savait alors qu'elles étaient là pour ça.

Celles qui semblaient être la leader s’avança près de la Baronne qui tenant son fils tel son trésor. Et elle déposa un bouquet de fleures. Un bouquet de fleures enchantées qui donnerait à ce garçon une grande beauté, il deviendrait un Dwild mâle !

"Son histoire commence à ce moment là mais ce n'est pas à cette époque que sa vie est intéressante". 
Seize ans s’écoulèrent vite, et pendant tous ce temps, Narcissa était toujours adulé et même parfois envié des autres jeunes-hommes. Mais que pouvait-il pensé des autres, rien ! Il ne s'intéressait pas aux autres. On lui offrit maintes cadeaux tout le long de sa vie, et à ses seizième anniversaire, on lui offrit un cheval qui brillait de mille feu. Tout comme les Dwilds, ce cheval n'avait rien de normal ; si on disait qu'il brillait de mille feus, ce que c'était le cas. Son crin n'était pas d'une couleur pâle mais bien brillante. On les appellait les Hyppäster. 
Les années passèrent encore, on lui fit un bal pour ses 18 ans, 19ans et 20 ans. Ça faisait bien longtemps qu'il n'avait plus sa créature brillante.

"Et c'est entre ses 20 ans et ses 21 ans que j'eus des problèmes avec le fils du baron".


Alors que Narcissa se promenait dans un bois pas loin, près de son village, il découvrit une licorne. Même si tout le monde sait ce qu'est une licorne, personne ne connaît la sensation qu'on ressent quand on en croise une. Les Hyppäster n'était peut-être pas rare dans ce monde mais les licornes si. Il serait impossible de décrire cette sensation, car elle est différente pour tous. Le jeune baron eu chaud, son coeur battait à tout va, il eu des frissons tout le long de son dos, ses jambes étaient lourdes, ses mains moites, le souffle coupé, voila ce qu'était les symptômes de sa sensation face à la licorne.

Il la ramena chez lui. Ce qui suivit fit phénoménale, c'était comme s'il était devenu quelqu'un d'autre. De plus en plus de monde l'aimait, et tout le monde voulait devenir son ami. L'aura qui protège les licornes, qui les rend immortel produit un effet magique sur les humains qui s'en occupent, lui avait-on dit.

"Cela faisait deux ans, et ce jour la, je n'aurais jamais dû être là, j'aurais jamais dû faire ce que j'ai fait. Mais il est trop tard."


Il se baladaient avec elle dans les rues de son domaine, alors qu'il était en train de parler à un marchand, son familier cornu amusait les petits en leur montrant de la magie. Les enfants riaient de plus en plus que la licorne se rendait ridicule.
Il était fâché, en faisant ça, elle était aussi en train de le ridiculiser. Et au retour à sa demeure, il demanda l’exécution de la bête. Ses raisons étaient simples, en tous cas pour lui ; l'animal lui avait fait tord. Elle avait terni son image. Et personne, oh non personne ne devait faire ça. Et le prix a payé était la mise à mort ! 
Les jours passèrent, et personne ne lui pardonna ce qu'il avait fait. Lorsqu'il passait dans la rue, on lui jetait des pommes pourries, et on l'insultait. Et plus les jours découlèrent, plus il devenait hargneux, et mesquins. Il renvoya même un domestique qui avait fait cuire les repas trop longtemps !
"Une guerre entre les villageois et la famille du Baron éclata vite. Vengeance était clamé d'un coté, tant dis que du coté de Narcissa, c'était l'envie de tuer."

Le nombre de villageois qui avait pris pour écusson de guerre une tête de licorne eu raisons de la bourgeoisie, tous fut tué, à l’exception de leur véritable ennemie. En ordonnant la mort de la créature, en était le commanditaire du " meurtre ", il eu un don, celui d'être immortel ! Malgré ce don, il fût puni, à vie. Il fût enchaîné au centre du village, et tous les ans on lui plantait un corne dans le cœur. 
Le petit garçon aux cheveux vert se leva, il s'était assis pour écouter l'histoire de l'homme. Il fit deux pas en arrière et vu une chaîne. L'homme était enchaîné au puits. Et tout autour de lui, alors qu'il pensait que c'était des bouts de bois, il y avait une centaine de cornes.

Fin.

lundi 12 septembre 2011

EXTRAIT Les Chroniques du Monde-des-Trois-Portes. Tome 7 : Le pouvoir du Rêve.

  Les rescapés d'une sombre tempête.
 
 
Il s'approcha d'elle, d'eux. Il ne savait pas comment il pourrait se faire pardonner, de tout ce qu'il avait fait, des souffrances qu'il avait engendrées tout au tour de lui. Il regarda ses amis. Pouvait-il vraiment les appeler ainsi. Il y a 6 mois, il aurait pu, mais plus maintenant. Son repentit devrait être facile pour Frédéric, Ania, Math,et les autres, pensa-t-il. Mais pour Lily, serait-il le même ? Ckall toujours souriant, l’accueillerait. Il l’espérait.

Alors qu'il était juste à deux mètres d'eux. Il vit le visage de la jeune fille blonde en larme, de sa faute.

-  Lily. Ne pleure pas.

Il n’eut aucune réponse. Seul Ckall – le garçon au grand cœur s'approcha de lui, déposa sa main sur son épaule en signe d'un « pré-pardon ».

-  Lily ?

Chacun à leur tour, s'approcha de lui, le dépassa. Pour deux raisons : la première le pardonner ou en tout cas,  accepter qu'il demande pardon. Et la seconde, pour qu'il puisse faire face à ce qu'il avait détruit le plus : Lily.

-  Achernar ? Xavier ? Comment dois-je t’appeler maintenant ? Elle venait de lui répondre. Mais dans sa voix, Xavier ne fut pas réconforté. Au contraire... elle avait dit tout cela avec tant de mépris qu'il dû soutenir sa poitrine de peur que son cœur ne se perde encore une fois.
-  Comme tu veux, mon nom est celui que tu voudras mais par ...
-  Traître ! Lui avait-elle répondu sèchement, cette fois-ci remplie de colère, de fureur. Comment as-tu pu. Et comment oses-tu te monter devant nous, devant moi. Alors que je t'ai défendu sur Akdar et que tu m'as poignardé. Je veux que tu t'en ailles. Fous le camp ! Tu ne mérites pas notre pardon.

Lorsqu'elle vu les autres s'approcher d'elle. Elle comprit qu'ils essayeraient de la « raisonner ».


-  Non ! Vous. Vous ne pouvez pas me faire ça. Lui pardonner. Rappeler ce qu'il a fait. NON ! C'est un traître, il ne peut pas revenir. Elle avait à son tour dépasser l'homme aux cheveux de jais pour parler au reste du groupe
-  Lily ? Il était derrière elle. Elle avait peur, la dernière fois que c'était arrivée, elle avait ressenti une lame la traverser de son long. Il la pris dans ses bras et c’était différent de tout ce qu'elle avait ressenti de toute sa vie : c'était chaud, agréable. Elle s'écroula en pleure et elle l'attira dans sa chute.

Tout deux, à terre. L’étreinte ne finissait pas. Toute sa colère s'exprimait par ses pleures, mais aussi par les coups qu'elle était en train de donner sur son torse plus musclé qu'il y a six mois. Elle avait mal et il devait comprendre sa douleur. Même Akène son familier ressentait cette peine, il avait pris une couleur de bois. Arkania, elle ressentait enfin ce que Xavier ressentait. Elle avait l'air ailleurs, soûle.

Toutes souffrances, même infimes soit-elles doivent être exprimées par n'importe quel moyen ; pleures, coups. Mais au final : il ne faut pas revenir en arrière, ne plus repenser aux passées, et essayer de pardonner. Xavier n'était pas lui-même, certes mais il devra se faire pardonner et Lily, les autres devront le pardonner. Et s'il est dur de pardonner, il est tout au temps difficile de se repentir. Mais il y a tellement de risques de passer à coté de quelque chose d'incroyable qu'il faut accepter le pardon.

mardi 16 août 2011

The 16 Augustus Two Thousant and Eleven

 L'égoïste n'est pas celui qui vit comme il lui plaît, c'est celui qui demande aux autres de vivre comme il lui plaît ; l'altruiste est celui qui laisse les autres vivre leur vie, sans intervenir.
Oscar Wilde

La vraie générosité envers l'avenir consiste à tout donner au présent.
Albert Camus

Un ami est une seule âme qui habite deux corps.
Lu quelque part.

dimanche 14 août 2011

Le Fenec argenté.


Il était une fois l'histoire d'un fennec qui venait de naître. Ce n'était pas un « canidé » normale. C'était un fennec argenté. L'histoire voulait que les primitifs de cette race soient nés d'une collision entre deux étoiles ; le choc et la poussière que ça avait engendré, avait donné naissance à différentes créatures dotées de dons, comme celui de briller telle une étoile - destiné au fennec argenté. Celui de notre histoire était le descendant des tous premiers animaux à la couleur d'argent. Et son histoire commença le jour où il quitta le terrier familiale.


La lune venait d’apparaître dans le ciel, quand il parti de chez lui. Sur la route il rencontra plusieurs personnes et plusieurs créatures.

La première fut un premier, un homme qui péchait. Le fennec ne connaissait pas cette chose. Et il pensait qu'il fallait s'en méfier. Il en avait bien raison, les hommes ne sont pas bons – surtout pour un être si beau et si brillant. Les Hommes ne pourraient que le ternir. Ou même le faire dormir pour toujours et garder sa fourrure étoilée.

Bien plus loin, il rencontra une jeune fille qui ne ressemblait en rien au pécheur. Elle ne semblait pas être fait de chaire. Mais bien d'eau. A cette dernière, il lui parla. Il est bien rester deux jours avec elle. Et ils savaient tous deux qu'ils serraient les meilleures amis du monde.

Alors qu'elle lui montrait ce qu'était la vie, la connaissance, il lui montra comment être dans les étoiles.

Le fennec argenté la quitta pour entreprendre a nouveau son voyage. Et elle lui donna son masque. Un masque magique que possédait les nymphes. Un masque qui permettait d'aller la d’où on vient. Son nom : le-retour-chez-soi. (...)



EXTRAIT Les Chroniques du Monde-des-Trois-Portes.

Le 4 avril, j'ai posté le début de mon histoire, en voici la version un peu corriger et sa suite. Bonne lecture

 
Chapitre I : La fuite.


" Ce qui est passé a fui ; ce que tu espères est absent ;
mais le présent est à toi. "


En courant, Max se sentait libre. Alors qu'il soupirait, il repensait à ce qu'il venait de faire. A 16 ans, il fuyait ; ses responsabilités, ses études, sa famille, sa vie. Il avait pris conscience qu'il n'avait rien à faire à l'école, ni chez lui.
Depuis qu'il était petit, Maxwell (car tel est son vrai nom) se sentait à part. Ses parents, lorsqu'ils n'étaient pas partis en voyage, ne s'occupaient ni de lui ni de sa sœur, Sam. Aucun d'eux ne connaissaient vraiment le sens de la famille. Il ne pouvait plus continuer à jouer dans cette pièce fausse de sens et décida donc de s'enfuir. Loin de sa famille malheureusement il devait aussi fuir son école et ses amis.
Maxwell était de ces garçons qu'on décrivait comme très beau et qu'il en briserait des cœurs mais lui ne se trouvait pas si irrésistible que ca ! Ni grand ni petit, ni mince ni gros, « ni beau ni laid », les cheveux ébouriffés, bruns et fins. Les yeux bruns foncé pour un regard ténébreux et la peau matte. Intelligent, courageux, sociale, sensible et charmeur. Maxwell avait tout pour devenir un bel homme.

Il avait décidé de courir vers la ville et là de prendre le train. Rien n'était réfléchit, c'était une simple pulsion ; il n'avait donc pas pensé à prendre de quoi manger pour la route, ni de quoi se désaltéré.
C'était une journée de printemps, une magnifique et ensoleillée après-midi. Il faisait chaud, il transpirait, il haletait comme un chien au bout de la moitié du chemin. Alors qu'il arrivait près d'un champ, il s'arrêta pour reprendre son souffle et qui sait : faire du stop. Cela faisait cinq minutes maintenant qu'il s'était arrêté et toujours aucune voiture à l'horizon, il avait du mal à reprendre son souffle.


Le soleil était cuisant, les gouttes perlaient sur son visage : sur ses joues, sur son front ! Il pensa même voir un mirage au loin dans le champ. Il y avait un épouvantail qui lui semblait en mouvements, Max se frotta les yeux : plus rien. Je deviens fou pensa-t-il. C'est vers ce moment-là qu'il regretta d'être parti. Pas d'être parti de chez lui mais de s'en aller sans avoir prévu de quoi se ravitailler.
Il devait continuer. Un chemin n'a qu'un sens, le tout est de prendre le bon, il se devait d'aller de l'avant, ne plus se retourner. La seconde moitié de la route lui sembla moins longue, moins contraignante. Il arrive en ville plus tôt qu'il ne l'aurait pensé. Alors qu'il atteignait son centre, il avait l'impression d'être regardé de tout le monde, dévisager, juger... Comme si tous savaient ce qu'il était en train de faire alors que lui-même n'en savait fichtrement rien. Quoi ? Que me voulez-vous ? Arrêtez de me regarder ? Pensa-t-il dire ! Maxwell avait la nette impression de devenir paranoïaque.
Il eu un énorme soulagement lorsqu'il fût enfin à la gare, comme si le poids de l'absurdité de sa vie s'en était allé, comme si le fait d'être la, lui avait apprit quelque chose : il n'avait jamais été à un bon endroit à part chez elle. Elle ? c'était sa tante, Augustine, il lui arrivait souvent d'aller chez elle, quand il était plus jeune. Et ses parents lui avaient fait part qu'il avait vécu le début de son enfance chez elle.

Augustine habitait à la campagne, dans une énorme maison blanche avec autant de pièces que de couverts. Elle avait un major d'homme : Andrew Archibald - un homme avec qui Max s'était toujours entendu - et une cuisinière : mademoiselle Belle-Pomme avec qui le jeune garçon n'avait pas d'infinité. La maison ne ressemblait en rien à ce qu'il avait chez lui. Imaginez une maison aussi haute que large, avec 2 hectares de jardins, l'entrée : un porche parsemé de colonnes, une serre et une véranda, et à l'intérieur baroque. Imaginez donc la plus vieille maison, à la décoration des plus distinguées. La maison se sépare en 3 grandes parties; l'allée centrale, l'allée gauche et celle de droite sur 3 étages, les chambres des invités se trouvant dans l'allée gauche, au deuxième étage. N'importe quel étranger se perdrait dans ce dédale.
Le jeune adolescent aimait s'y rendre surtout pour aller au bout du jardin; il y avait là : un ruisseau et un pont (aussi vieux que sa tante) qui amenait dans un bois. Ni ce pont, ni ce ruisseau l'intéressait mais c'était bien cette petite forêt qu’il aimait tant. Quand il y allait, il se sentait comme seul au monde ! Il ne pensait à rien sauf à lui et ses envies. Le seul maître à bord de son destin.


Alors qu'il repensait à tout ça ; Augustine, Andrew, Belle-pomme, la maison, le bois; il bouscula quelqu'un dans la gare. L'homme bousculé ne s'énerva pas mais regarda fixement le jeune adolescent. Mais il ne fit pas attention, s'excusa et s'en alla. Autant il ne vit pas cet homme, autant il ne pouvait ne pas voir le garçon qui s'approchait de lui ; L. Un vieil ami ! Alors qu'il était de plus en plus proche de lui, Max lui fit signe de la tête, lui dit au revoir et s'en alla. L ne pu que rebrousser chemin, étonné du comportement de son camarade.
Il était enfin sur le quai à attendre le train qui l’amènerait à bon port.
Le jeune homme entendit un cri, si fort qu'il du mettre ses mains sur ses oreilles. Il regarda partout, affolé. Ce hurlement lui faisait froid dans le dos, tels des mots de souffrances, tels les derniers soupirs d'un mort. Il ne vit pas d'où venait ce bruit, aux premières écoutes, il cru d'abord que la sirène du train était déréglée mais il semblait être le seul à l'entendre ce qui écarta cette hypothèse. Les passants le regardaient – se disaient certainement qu'il était fou – le dévisageaient et finir par tous le nier. Il reprit son calme et son ascension vers le bout du quai.
Alors que plus personne ne faisait attention à lui, un homme au loin le fixait. Le jeune homme ne se sentait pas bien à la vue de cet homme. Habillé d'un long impaire et d'un chapeau gris il semblait fort vieux ; des yeux ridés, de fins cheveux poivre et sel, et un maintien très imparfait. Maxwell était sûr que l'individu en gris cachait quelque chose en dessus de ces vêtements.
Le soleil commençait à se coucher lorsque le train fit son entrée dans la gare. L'adolescent prit un siège et quitta cet endroit et le grisonnant.



L'air du train lui paressait lourd. Cette journée avait sûrement été la plus chaude de l'année. Toute la journée, il s’était senti humide et peu à l'aise. Pour que le voyage lui paresse moins long, il s'isola avec son MP3.


Lorsque Max quitta ses pensées, il faisait déjà nuit et le train était presque vide. Dans son wagon, il y avait en tout et pour tout 5 personnes. Il ne savait pas si c'était le fait d'être seul ou bien s'il faisait nuit mais Maxwell avait froid. Il remit sa veste retirée plus tôt, pour se réchauffer. Il tremblait et fini même par claquer des dents.
Ce ne fut pas l'élément le plus bizarre du voyage, quelques minutes après ça, il eu comme des éclairs dans le ciel, mais des éclairs d'une couleur bien étranges. Lorsqu'ils apparaissait, tout était bleu. Même si Max était de nature courageuse, il avait quelques craintes, ce n'était pas normal et personne ne réagissait. Au loin, il n'y avait pas ni pluie, ni nuages. Il semblait pas avoir de problème sur la ligne haute tension. Et pourtant il y avait bien de la foudre. Par la fenêtre, du cyan, de l'indigo, du bleu marine ... concentré sur ces flash, Max cru apercevoir une forme dans ces derniers. Comme des ombres se dessinant dans ce bleu de Prusse.
Tout s’éteignit dans le train, les gens à ce moment se levèrent – paniqués. Plus rien ne fonctionnait, même le train était arrêté.


- La panique ne sert à rien. Dit un homme qui avait l'air plus habille que les autres.
- On ne me dit pas comment réagir monsieur, imaginez qu'on aie une collision avec le prochain train. Lui répondit une femme, vieille, avec son petit chien qui n’arrêtait pas d'aboyer depuis que les lumières s'étaient éteintes.

Les cris allaient bon train au moment où :

- Monsieur, Madame, veuillez garder votre calme, le train reprendra bientôt sa route. Dit le contrôleur au moyen du haut-parleur.

En effet, très vite le courant revenu et le train redémarra. L’action passa tellement vite que Maxwell ne vit pas que les éclairs s'était calmés, disparues.


Maxwell arriva enfin à la gare de ... Normalement, lorsqu'il prenait le train, sa tante avec le major d'homme venait le chercher mais là, il ne s'attendait pas à les voir, vu qu'il avait en quelque sorte fuguer. Il monta les marches qui amenant à la sortie, coté bus. Et là l'attendait Augustine et Andrew.






vendredi 12 août 2011

Vous avez reçu 0 nouveau(x) message(s)

J'attends ce mail qui n'arrive pas. Lorsque je me lève, j'allume mon ordi. Pas de messages. Je passe ma journée à attendre. Avant de manger, je regarde. Avant de me laver, je vérifie. Avant de me préparer pour sortir je passe un tour dans ma boite de réception et même lorsque je rentre, heureux d'avoir passé une bonne soirée, j'examine pour voir s'il n'y a pas quelque chose ; rien !

Ce mail peut être juste l'attente d'une confirmation pour un boulot, pour la réception d'un colis, d'une commande. Ou juste des nouvelles.

J'attends, pour quoi ? J'espère pour rien.

jeudi 7 juillet 2011

Coming Soon

Bientôt, j'essayerai de faire des critiques de film... j’espère que je serai bon :D
Si vous avez des noms de films, vous pouvez me les envoyer.

lundi 20 juin 2011

The 20 June Two Thousant and Eleven

Aujourd'hui pour mes citations, je hume les vacances à plein poumons, je décide donc de citer des écrivains, des mots étrangers. Partant dans des contrés lointains grâce aux mots. Ne vous prions d'attacher votre ceinture pendant le décollage, les appareils électroniques doivent être éteints, levez votre tablette. L'équipe de bord vous souhaite un agréable voyage à bord du The Little Boy with Green Hairs Airlines.


Europe :

Il faudrait pouvoir montrer les tableaux qui sont sous le tableau.

Pablo Picasso

Amérique :

Une quête commence toujours par la chance du débutant. Et s'achève toujours par l'épreuve du conquérant.

Paulo Coelho
Extrait de L'Alchimiste

Asie :

Si la haine répond à la haine, comment la haine finira-t-elle ?

Bouddha

Afrique :

Être libre, ce n'est pas seulement se débarrasser de ses chaînes ; c'est vivre d'une façon qui respecte et renforce la liberté des autres.

Nelson Mandela


Océanie

Les îles ont un silence qu'on entend

Italo Calvino

samedi 18 juin 2011

Thirst song : Pink - Fucking Perfect

Illustration à venir !



Made a wrong turn
Once or Twice
Dug my way out
Blood and fire

Bad decisions
That’s alright
Welcome to my
silly life

Mistreated
This place
Misunderstood
Miss knowing it’s all good
It didn’t slow me down

Mistaken
Always second guessing
Underestimated
Looking I’m still around

Pretty pretty please
Don’t you ever ever feel
Like you’re less then
Fuckin’perfect
Pretty pretty please
If you ever ever feel
Like you’re nothing
You’re fuckin’ perfect to me

You’re so mean (You’re so mean)
When you talk (when you talk)
About yourself
You were wrong

Change the voices (Change the voices)
In your head (in your head)
Make them like you
Instead

So complicated
Look how we are making
Filled with so much hatred
Such a tired game

It’s enough I don’t know
How I could think of
Chase down all my demons
I’ve seen you do the same
(ohh ohhhhhh)

Pretty pretty please
Don’t you ever ever feel
Like you’re less then
Fuckin’perfect
Pretty pretty please
If you ever ever feel
Like you’re nothing
Your’re fuckin’ perfect to me

The whole world's scared
So I swallow the fear
The only thing I should be
Drinking is an ice cold beer

So cool in line
And we try try try
But we try too hard
It’s a waste of my time

Done looking for the critics,
‘Cos they’re everywhere
They don’t like my jeans
They don’t get my hair

Strange ourselves and we do it all the time
Why do we do that?
Why do I do that?
(why do I do that?)

Oh pretty pretty pretty

Pretty pretty please
Don’t you ever ever feel
Like you’re less then
Fuckin’perfect
Pretty pretty please
If you ever ever feel
Like you’re nothing
You’re fuckin’ perfect to me

(you’re perfect your’re perfect)
Pretty pretty please
If you ever ever feel
Like your nothing
You’re fuckin’ perfect to me




mercredi 25 mai 2011

From The Red Book ! 25-05-11

J'ai une douleur dans mon être intérieur,
C'est comme si j'avais peur !

Je suis mal dans ma peau,
Mon cœur bat à un drôle de tempo.

Je respire plus, j'ai une envie,
te dire que ça ne sera jamais fini.

Dans mon Bateau, je suis Ivre.
Ce que je veux, c'est réentendre ton rire.

Et je sens que j'en pleure.
Pas du tout envie de te dire au revoir ; petite soeur !

lundi 23 mai 2011

Persepolis

Bande Annonce de Persepolis, film de Marjane Satrapi et Vincent Paronnaud. Diffusé hier soir sur France 3. A voir absolument !
Je viens de finir de le regarde : magnifique !
J'en tremble encore, j'y repense et me tourmente, j'en reverrai après.
L'un des meilleures dessin animés que j'ai vu. Émouvant, Poignant, Révoltant !
Dans un style de dessin simpliste et conceptuel, adoucissante les traits de dessin pour mieux faire ressortir les traits de caractères de chaque personnages, des actions, ...
Un dessin stylisé pour optimiser les émotions !
Un Chef-d’œuvre.


samedi 7 mai 2011

vendredi 6 mai 2011

The Six May Two Thousand and Eleven

Heureux ceux qui meurent au berceau, ils n'ont connu que les baisers et les sourires d'une mère.
Rene de Chateaubriand


Hâtons-nous aujourd'hui de jouir de la vie ; Qui sait si nous serons demain ?
Jean Racine

 
" Ce qui est passé a fui ; ce que tu espères est absent ; mais le présent est à toi. "

From The Red Book ! 03-02-11

 
 
 VISE LA LUNE MAIS SI TA FLÈCHE LA DÉPASSE, ATTRAPES UNE ÉTOILE.








Illustration Kwiby !

EXTRAIT ! Les Chroniques du Monde-des-Trois-Portes

Extrait !
TOME I : Le Château des Nuages.

Partie 3 : LES ÉCLAIRES VERMEILLES.
Chapitre ?


Citation ...


"Je ne doute pas de la véracité de tes sentiments, mais de l'ardeur de ceux-ci, mon seigneur.
Tes mots et tes gestes ont ils le même poids que les coups de ton épée, mon roi.
Je sens que tu me caches une chose, je sens que tu m'aimes, mais tu n'es pas honnête sur ta vie, mon prince.
Que puis-je faire pour que tu puisses être juste envers moi, ton fils et ton peuple, mon maitre.
A côté de vous, la nuit, je pleure tout bas, car de loin, j'aperçois une ombre pesée sur vos épaules, mon sire.
Vous n'êtes point seul, vous ne l'avez jamais été ! Tu as toujours été accompagné, mon amour.
Laisse-moi partager ton secret, tu me manques ! "



Les mots la pesaient, elle garda ses larmes, comme si elle voulait que d'autres les coulent pour elle. Son amant la regardait, fixement, mais ne voulu lui répondre ; était-ce trop pour lui ou ne voulait-il pas simplement. Personne ne le su. Alors qu'elle finit sa phrase, AnyaLanka, la reine du Château-des-Nuages, parti la tête haute, sa longue tunique dans le vent, vers la chambre où l'attendait son enfant.

lundi 2 mai 2011

Second Song : Lady Gaga - Born This Way

Illustration à venir !

It doesn't matter if you love him
Or capital H-I-M
Just put your paws up
'Cause you were born this way, baby


My mama told me when I was young
We are all born superstars

She rolled my hair and put my lipstick on
In the glass of her boudoir

"There's nothin' wrong with lovin' who you are"
She said, "Cause he made you perfect, babe"
"So hold your head up girl and you'll go far,
Listen to me when I say"


I'm beautiful in my way
'Cause God makes no mistakes
I'm on the right track, baby
I was born this way

Don't hide yourself in regret
Just love yourself and you're set
I'm on the right track baby
I was born this way


Ooo there ain't no other way
Baby I was born this way
Baby I was born this way
Ooo there ain't no other way
Baby I was born this way
I'm on the right track baby
I was born this way

Don't be a drag, just be a queen
Don't be a drag, just be a queen
Don't be a drag, just be a queen
Don't be!


Give yourself prudence
And love your friends
Subway kid, rejoice your truth

In the religion of the insecure
I must be myself, respect my youth

A different lover is not a sin
Believe capital H-I-M (hey hey hey)
I love my life I love this record and
Mi amore vole fe yah (love needs faith)

I'm beautiful in my way
'Cause God makes no mistakes
I'm on the right track baby
I was born this way

Don't hide yourself in regret
Just love yourself and you're set
I'm on the right track baby
I was born this way


Ooo there ain't no other way
Baby I was born this way
Baby I was born this way
Ooo there ain't no other way
Baby I was born-
I'm on the right track baby
I was born this way

Don't be a drag, just be a queen
Whether you're broke or evergreen
You're black, white, beige, chola descent
You're lebanese, you're orient
Whether life's disabilities
Left you outcast, bullied, or teased
Rejoice and love yourself today
'Cause baby you were born this way

No matter gay, straight, or bi,
Lesbian, transgendered life
I'm on the right track baby
I was born to survive
No matter black, white or beige
Chola or orient made
I'm on the right track baby
I was born to be brave


I'm beautiful in my way
'Cause God makes no mistakes
I'm on the right track baby
I was born this way

Don't hide yourself in regret
Just love yourself and you're set
I'm on the right track baby
I was born this way


Ooo there ain't no other way
Baby I was born this way
Baby I was born this way
Ooo there ain't no other way
Baby I was born this way
I'm on the right track baby
I was born this way


I was born this way hey!
I was born this way hey!
I'm on the right track baby
I was born this way hey!

I was born this way hey!
I was born this way hey!
I'm on the right track baby
I was born this way hey!



dimanche 1 mai 2011

The Little Boy with Green Hairs

                    Imaginez un monde sans vie, sans vie humaine ou animale. Où seule la flore s'y serait installée. Imaginez un monde merveilleux. Plus que merveilleux : une vue magnifique sur de grandes étendues jamais foulées, des panoramas paradisiaques. Des forêts aux arbres centenaires. Un air pur. Un monde où l'Homme n'aurai pas déposé sa griffe destructive. Que ça soit au nord, au sud, à l'ouest, à l'est... Tout ne serait que beauté et bonté. Il en existe surement plusieurs. Mais celui dont j'ai envie de parler s'appelle ... Ce n'est pas véritablement un monde à part entière : c'est un monde de transition. En effet, à ...On ne peut y vivre à moins d'être une plante. À quoi sert un tel monde me direz vous. Et je vous répondrais le plus simplement à être visité, traversé. Et non à être contrôlé, modifié, changé ! Mais la chose la plus étrange à ... Ce sont ces portes ! car même si ce monde n'est pas humanisé. Il existe de nombreuses portes. Des entrées sans chaumières, des portes sans bâtisses ! Des ouvertures sur d'autres mondes. Certes il est dur de croire que ces portes qui se trouvent à différents endroits auraient cet étrange pouvoir, mais tel est le cas. Flottant dans le vide, accroché sur des arbres, situées entre deux rochers, au fond d'une caverne, se trouvant à la place du sommet d'une montagne. Ce pouvoir permettant d'accéder à d'autres mondes. Contrairement à de simples portes qui ne servent qu'à être ouverte et qui permettent d'entrer dans un endroit, celles-ci ont la capacité de transporter celui qui les ouvrent ! Des mondes différents qu'on connait.

jeudi 28 avril 2011

For every body that I love !

Life isn't measured by how many breaths you take but by how many moments that take your breath away.  And with you, I take my breath away

Hilary Cooper.

(Sera replacé dans un prochain article )

mardi 26 avril 2011

The twenty-Six April Two Thousand and Eleven

Il est important que la manège continue à tourner. Mais je ne sais pas comment il tourne ...
Character of Seeley Booth from BONES


La vie est une richesse. Conserve-la.
Mère Teresa


La vie est une grande désillusion.
Oscar Wilde


Ne vous dérangez pas, le temps ne fait que passer.
Vassilis Alexakis

samedi 16 avril 2011

The Sexteen April Two Thusand and Eleven

Un peu de variété vaut mieux que beaucoup de monotonie.
 Jean-Paul Richter


Comme la neige serait monotone si Dieu n'avait créé les corbeaux.
Jules Renard
 
Le cul des femme est monotme comme l'esprit de l'homme.
Guy de Maupassant 
(Lettre à Flaubert)

Vous vous plainiez du cul des femmes qui est monotone. Il y a un remède bien simple, c'est de ne pas vous en servir. 
Gustave Flaubert
(Lettre à de Maupassant)

vendredi 8 avril 2011

First Song : Lady Gaga feat Beyonce - Téléphone !

Hello, hello, baby
You called, I can't hear a thing.
I have got no service
In the club, you say ? say ?
Wha-Wha-What did you say huh ?
You're breakin'up for me
Sorry I cannot hear you,
I'm kinda busy.

K-kind of busy
K-kind of busy
Sorry, I cannot hear you I'm kinda busy.

Just a second,
It's my favorite song they're gonna play
And I cannot text you with
A drink in my hand ? eh ?
You shoulda made some plans with me,
You knew that I was free.
And now you won't stop calling me;
I'm kinda busy.

Stop callin', stop callin',
I don't wanna think anymore
I left my head and my heart on the dance floor.
Stop callin', stop callin',
I don't wanna talk anymore
I left my head and my heart on the dance floor.

Eh, eh, eh, eh, eh, eh, eh, eh, eh
Stop telephonin' me
Eh, eh, eh, eh, eh, eh, eh, eh, eh
I'm busy
Eh, eh, eh, eh, eh, eh, eh, eh, eh
Stop telephonin' me
Eh, eh, eh, eh, eh, eh, eh, eh, eh

Can call all you want,
But there's no one home,
And you're not gonna reach my telephone
'Cuz Im out in the club,
And I'm sippin that bub,
And you're not gonna reach my telephone

Call when you want,
But there's no one home,
And you're not gonna reach my telephone
'Cuz I'm out in the club,
And I'm sippin that bubb,
And you're not gonna reach my telephone

Boy, why you blown up my phone
Won't make me leave no faster.
Put my coat on faster,
Leave my girls no faster.
I shoulda left my phone at home,
'Cuz this is a disaster
Calling like a collector
Sorry, I cannot answer

Not that I don't like you,
I'm just at a party.
And I am sick and tired
Of my phone r-ringing.
Sometimes I feel like
I live in Grand Central Station.
Tonight I'm not takin' no calls,
'Cuz I'll be dancin'.

'Cause I'll be dancin'
'Cause I'll be dancin'
Tonight I'm not takin' no calls, 'cause I'll be dancin'

Stop callin', stop callin',
I don't wanna think anymore
I left my head and my heart on the dance floor.
Stop callin', stop callin',
I don't wanna talk anymore
I left my head and my heart on the dance floor.

Stop callin', stop callin',
I don't wanna think anymore
I left my head and my heart on the dance floor.
Stop callin', stop callin',
I don't wanna talk anymore
I left my head and my heart on the dance floor.

Eh, eh, eh, eh, eh, eh, eh, eh, eh
Stop telephonin' me
Eh, eh, eh, eh, eh, eh, eh, eh, eh
I'm busy
Eh, eh, eh, eh, eh, eh, eh, eh, eh
Stop telephonin' me
Eh, eh, eh, eh, eh, eh, eh, eh, eh

Can when you want,
But there's no one home,
You're not gonna reach my telephone
'Cuz I'm out in the club,
And I'm sippin that bubb,
And you're not gonna reach my telephone

Call when you want,
But there's no one home,
And you're not gonna reach my telephone
'Cuz I'm out in the club,
And I'm sippin that bubb,
And you're not gonna reach my telephone

My telephone
My telephone
My-my-my telephone
'Cuz I'm out in the club,
And I'm sippin' that bubb,
And you're not gonna reach my telephone


Illustration trouvée sur http://www.elawords.com/

jeudi 7 avril 2011

The Seven April Two Thusand and Eleven

La parole a été donnée à l'Homme pour déguiser sa pensée.
Louis Madelin

L'unique problème de la communication, c'est l'illusion qu'elle entretient. 
George Bernard Shaw.

Internet est la première chose que l'homme a créer sans la comprendre, c'est la plus grande expérience en matière d'anarchie jamais réalisé. 
Eric Schmidt.

Le Fennec Argenté.

Le Fennec Argenté.

Il était une fois l'histoire d'un fennec qui venait de naître. Ce n'était pas un « canidé » normale. C'était un fennec argenté. L'histoire voulait que les primitifs de cette race soient nés d'une collision entre deux étoiles ; le choc et la poussière que ça avait engendré, avait donné naissance à différentes créatures dotées de dons, comme celui de briller telle une étoile - destiné au fennec argenté. Celui de notre histoire était le descendant des tous premiers animaux à la couleur d'argent. Et son histoire commença le jour où il quitta le terrier familiale (...)

mardi 5 avril 2011

Like a devil in my heart !

J'ai comme un démon dans ma poitrine, qui se logerait au plus profond de mon âme.
Il ne se réveille que quand j'ai une envie.
Un démon qui crie de plus en plus fort ; dépassant de quelques décibels le battement de mon coeur.
Il danse sur mon organe, tourbillonne de plus en plus fort, mord mon intérieur. 
Cette créature qu'on ne peut nommer ne veut qu'une chose ; briser les os de ma cage thoracique, déchirer toutes les couches de mon épiderme.  Pour pouvoir sortir de sa prison de chair.
Il n'attend et n'espère qu'a me faire du mal !
Il me fait souffrir, il me tue ! 
Arrête dont !  
Laisse moi, que je puisse enfin être serein.
Mais au plus profond de mon esprit, et au plus loin que je puisse réfléchir : tu ne me laissera que quand j'aurais pousser mon dernier soupir !


lundi 4 avril 2011

EXTRAIT ! Les Chroniques du Monde-des-Trois-Portes.

Ce qui suit est un texte que j'ai ecrit après 6 ans de création d'une histoire fantastique !


TOME I : Le Chateau des Nuages.

Partie 1 : LES ECLAIRES AZURES.


Chapitre 1 : La Fuite.

" Ce qui est passé a fui ; ce que tu espères est absent ;
mais le présent est à toi. "



Libre, tout en courant Max se sentait libre. Alors qu'il soupirait, il repensait à ce qu'il venait de faire. A 16 ans, il fuyait ; ses responsabilité, ses études, sa famille, sa vie. Il avait pris conscience qu'il n'avait rien à faire à l'école, ni chez lui.

Depuis qu'il était petit, Maxwell (car tel est son vrai nom) se sentait à part. Ses parents lorsqu'ils n'étaient pas partis en voyage, ne s'occupaient pas de lui ni de sa sœur Becci. Aucun d'eux ne connaissaient vraiment le sens de la famille. Il ne pouvait plus continuer à jouer dans cette pièce fausse de sens et décida donc de s'enfuir. Loin de sa famille malheureusement il devait aussi fuir son école et ses amis.

Maxwell était de ces garçons qu'on arrêtait pas de dire qu'il était beau, qu'il en briserait des coeurs mais qu'il ne se trouvait pas si irrésistible que ca ! Ni grand ni petit, ni mince ni gros, « ni beau ni laid », les cheveux ébouriffés, bruns et fins. Les yeux bruns foncé pour un regard ténébreux et la peau matte. Intelligent, courageux, sociale, sensible et charmeur. Maxwell avait tout pour devenir un bel homme.

Il avait décidé de courir vers la ville et là de prendre le train. Rien n'était réfléchie, c'était une simple pulsion ; il n'avait donc pas pensé à prendre de quoi manger pour la route, ni de quoi se désaltéré.

C'était une journée de printemps, une magnifique et ensoleillée après-midi. Il faisait chaud, il transpirait, il haletait comme un chien au bout de la moitié du chemin. Alors qu'il arrivait près d'un champ, il s'arrêta pour reprendre son souffle et qui sait : faire du stop. Ça faisait cinq minutes maintenant qu'il s'était arrêté et toujours aucune voiture à l'horizon, il avait du mal à reprendre son souffle.

Le soleil était cuisant, les gouttes perlaient sur son visage : sur ses joues, sur son front ! Il pensa même voir un mirage au loin dans le champ. Il y avait un épouvantail qui lui semblait en mouvements, Max se frotta les yeux : plus rien. Je deviens fou pensa-t-il. C'est vers ce moment-là qu'il regretta d'être parti. Pas d'être parti de chez lui mais de s'en aller sans avoir prévu de quoi se ravitailler.

Il devait continuer. Un chemin n'a qu'un sens c'est celui de prendre le bon, il se devait d'aller de l'avant, ne plus se retourner. La seconde moitié de la route lui sembla moins longue, moins contraignante. Il arrive en ville plus tôt qu'il ne l'aurait pensé. Alors qu'il atteignait son centre, il avait l'impression d'être regardé de tout le monde, dévisager, juger... Comme si tous savaient ce qu'il était en train de faire alors que lui-même n'en savait fichtrement rien. Quoi ? Que me voulez-vous ? Arrêtez de me regarder ? Pensa-t-il dire ! Maxwell avait la net impression de devenir paranoïaque.

Il eu un énorme soulagement lorsqu'il fu enfin a la gare, comme si le poids de l'absurdité de sa vie s'en était allé, comme si le fait d'être la, lui avait appris quelque chose : il n'avait jamais été a bon endroit à part chez elle.

vendredi 1 avril 2011

One April Two Thusand and Eleven.

Je t'aime plus que tout.  Plus que le soleil ne pourra jamais aimer la lune.

Passage de la letttre : De Orion à Orphen. Tiré des Chroniques du Monde-des-Trois-Portes.

Hier, (...)
Pour l'instant, le seul sujet sur lequel j'ai envie d'écrire ; c'est notre couple.
Rien d'autre ne m'inspire, je n'arrive plus à dessiner sans penser à nous et lorsque j'écris je ne pense qu'à toi !
Je ne veux pas dire que tu es une muse, mais je dessine et écrit que quand je vais mal !
Si tu veux vraiment que je t'écrive une déclaration, je vais te la faire mais pour toi, juste pour toi !
Que je sois heureux ou triste, je pense à toi. Lorsque j'ai peur, je veux que tu me consoles, que tu me prenne dans tes bras.
Mais tes bras m'attirent même si j'ai juste envie d'une enlaçade. Ne crois pas que j'aime ta présence que quand je vais mal.
Loin de là, dans tous les moments de la vie, j'ai envie de toi, envie d'être avec toi (...)à j
Lorsque je te sens sur moi, que je sens ton souffle dans mon coup, quand je t'écoute parler, respirer, je me sens heureux.
On a connu des coups bas,(...)
J'aime te voir, même si je dois te quitter dans l'heure, j'aime  (...)
Je t'aimerais à jamais . Orion.


Orphen.

jeudi 31 mars 2011

Passage du Petit Garcon aux cheveux vert en Anglais.

The man approached some and tells him: who are you?
The young boy who wasn't afraid answered him; I am The-Small-Boy-with-Green-Hairs.And of the same tone, reassuring: Where do you come from ?
I come from far away” answered the young man.
Both, which did not know each other; spoke about their life, their loves, their stars.
But the hunter had to leave.

For this day, the-small-boy-with-green-hair had looked beyond the sky, wain-ting and hoping for him return.
For this day, him, which looked at the sky to see shooting stars, he looked at it to can see him, one day !

Des sentiments aux allures de fée éphémère.

Je grandis au grès de mes sentiments et grâce aux personnes qui m'entourent.
Dès ma naissance, j'ai grandi jusqu'à mesurer près de 5 cm grâce aux personnes que j'ai appelés parents !
Pendant plusieurs jours, je suis restée de la même taille, ne grandissant que de quelques sentiments !
Pourtant, je n'en étais pas plus fort - ni même moins - et je ne pouvais toujours pas briller !
Alors que je mesurais 70 millimètres, j'ai rencontré un groupe de gens que j'ai considérés comme des amis.
En un coup, j'ai grandis de 1 cm ! L'amitié était à cette époque, la plus belle chose qui me faisait grandir et devenir plus belle.
J'étais une belle fée.
Ca ne faisait même pas 1 semaine et je mesurai enfin 10 centimètres et il ne m'en fallu même pas un jour pour doubler de taille quand je l'ai rencontrée.
Alors que je pensai que je n'aurai jamais pu mieux grandir que grâce à l'amitié, j'ai découvert l'Amour.
Depuis ce jour, je ne cesse de grandir, de briller ! Je n'arrête pas d'aimer et d'être aimé.

To L.

mercredi 30 mars 2011

Présentation

Un blog commence forcément par une présentation de son créateur.
Donc voici ma présentation; j'écris ce blog pour y mettre tous les textes que j'écris qui me font du bien. Un sort d'éxutoire lorsque je broie du noir. Et oui car même si The Little Boy with Green Hairs est de nature enjoué et gaie, il lui arrive comme tout le monde d'avoir des idées noires !
Appart ces textes, j'écrirais des débuts d'histoires ou même des passages en esperant recevoir des critiques CONSTRUCTIVES !
Et aussi l'histoire - raconté comme une sorte de compte aux aires d'Antoine de Saint-Exépurry du petit garcon aux cheveux vert !
Pour finir, vous verrez des illu signé KWIBY, des photos, des articles d'artistes, de chansons...