jeudi 28 avril 2011

For every body that I love !

Life isn't measured by how many breaths you take but by how many moments that take your breath away.  And with you, I take my breath away

Hilary Cooper.

(Sera replacé dans un prochain article )

mardi 26 avril 2011

The twenty-Six April Two Thousand and Eleven

Il est important que la manège continue à tourner. Mais je ne sais pas comment il tourne ...
Character of Seeley Booth from BONES


La vie est une richesse. Conserve-la.
Mère Teresa


La vie est une grande désillusion.
Oscar Wilde


Ne vous dérangez pas, le temps ne fait que passer.
Vassilis Alexakis

samedi 16 avril 2011

The Sexteen April Two Thusand and Eleven

Un peu de variété vaut mieux que beaucoup de monotonie.
 Jean-Paul Richter


Comme la neige serait monotone si Dieu n'avait créé les corbeaux.
Jules Renard
 
Le cul des femme est monotme comme l'esprit de l'homme.
Guy de Maupassant 
(Lettre à Flaubert)

Vous vous plainiez du cul des femmes qui est monotone. Il y a un remède bien simple, c'est de ne pas vous en servir. 
Gustave Flaubert
(Lettre à de Maupassant)

vendredi 8 avril 2011

First Song : Lady Gaga feat Beyonce - Téléphone !

Hello, hello, baby
You called, I can't hear a thing.
I have got no service
In the club, you say ? say ?
Wha-Wha-What did you say huh ?
You're breakin'up for me
Sorry I cannot hear you,
I'm kinda busy.

K-kind of busy
K-kind of busy
Sorry, I cannot hear you I'm kinda busy.

Just a second,
It's my favorite song they're gonna play
And I cannot text you with
A drink in my hand ? eh ?
You shoulda made some plans with me,
You knew that I was free.
And now you won't stop calling me;
I'm kinda busy.

Stop callin', stop callin',
I don't wanna think anymore
I left my head and my heart on the dance floor.
Stop callin', stop callin',
I don't wanna talk anymore
I left my head and my heart on the dance floor.

Eh, eh, eh, eh, eh, eh, eh, eh, eh
Stop telephonin' me
Eh, eh, eh, eh, eh, eh, eh, eh, eh
I'm busy
Eh, eh, eh, eh, eh, eh, eh, eh, eh
Stop telephonin' me
Eh, eh, eh, eh, eh, eh, eh, eh, eh

Can call all you want,
But there's no one home,
And you're not gonna reach my telephone
'Cuz Im out in the club,
And I'm sippin that bub,
And you're not gonna reach my telephone

Call when you want,
But there's no one home,
And you're not gonna reach my telephone
'Cuz I'm out in the club,
And I'm sippin that bubb,
And you're not gonna reach my telephone

Boy, why you blown up my phone
Won't make me leave no faster.
Put my coat on faster,
Leave my girls no faster.
I shoulda left my phone at home,
'Cuz this is a disaster
Calling like a collector
Sorry, I cannot answer

Not that I don't like you,
I'm just at a party.
And I am sick and tired
Of my phone r-ringing.
Sometimes I feel like
I live in Grand Central Station.
Tonight I'm not takin' no calls,
'Cuz I'll be dancin'.

'Cause I'll be dancin'
'Cause I'll be dancin'
Tonight I'm not takin' no calls, 'cause I'll be dancin'

Stop callin', stop callin',
I don't wanna think anymore
I left my head and my heart on the dance floor.
Stop callin', stop callin',
I don't wanna talk anymore
I left my head and my heart on the dance floor.

Stop callin', stop callin',
I don't wanna think anymore
I left my head and my heart on the dance floor.
Stop callin', stop callin',
I don't wanna talk anymore
I left my head and my heart on the dance floor.

Eh, eh, eh, eh, eh, eh, eh, eh, eh
Stop telephonin' me
Eh, eh, eh, eh, eh, eh, eh, eh, eh
I'm busy
Eh, eh, eh, eh, eh, eh, eh, eh, eh
Stop telephonin' me
Eh, eh, eh, eh, eh, eh, eh, eh, eh

Can when you want,
But there's no one home,
You're not gonna reach my telephone
'Cuz I'm out in the club,
And I'm sippin that bubb,
And you're not gonna reach my telephone

Call when you want,
But there's no one home,
And you're not gonna reach my telephone
'Cuz I'm out in the club,
And I'm sippin that bubb,
And you're not gonna reach my telephone

My telephone
My telephone
My-my-my telephone
'Cuz I'm out in the club,
And I'm sippin' that bubb,
And you're not gonna reach my telephone


Illustration trouvée sur http://www.elawords.com/

jeudi 7 avril 2011

The Seven April Two Thusand and Eleven

La parole a été donnée à l'Homme pour déguiser sa pensée.
Louis Madelin

L'unique problème de la communication, c'est l'illusion qu'elle entretient. 
George Bernard Shaw.

Internet est la première chose que l'homme a créer sans la comprendre, c'est la plus grande expérience en matière d'anarchie jamais réalisé. 
Eric Schmidt.

Le Fennec Argenté.

Le Fennec Argenté.

Il était une fois l'histoire d'un fennec qui venait de naître. Ce n'était pas un « canidé » normale. C'était un fennec argenté. L'histoire voulait que les primitifs de cette race soient nés d'une collision entre deux étoiles ; le choc et la poussière que ça avait engendré, avait donné naissance à différentes créatures dotées de dons, comme celui de briller telle une étoile - destiné au fennec argenté. Celui de notre histoire était le descendant des tous premiers animaux à la couleur d'argent. Et son histoire commença le jour où il quitta le terrier familiale (...)

mardi 5 avril 2011

Like a devil in my heart !

J'ai comme un démon dans ma poitrine, qui se logerait au plus profond de mon âme.
Il ne se réveille que quand j'ai une envie.
Un démon qui crie de plus en plus fort ; dépassant de quelques décibels le battement de mon coeur.
Il danse sur mon organe, tourbillonne de plus en plus fort, mord mon intérieur. 
Cette créature qu'on ne peut nommer ne veut qu'une chose ; briser les os de ma cage thoracique, déchirer toutes les couches de mon épiderme.  Pour pouvoir sortir de sa prison de chair.
Il n'attend et n'espère qu'a me faire du mal !
Il me fait souffrir, il me tue ! 
Arrête dont !  
Laisse moi, que je puisse enfin être serein.
Mais au plus profond de mon esprit, et au plus loin que je puisse réfléchir : tu ne me laissera que quand j'aurais pousser mon dernier soupir !


lundi 4 avril 2011

EXTRAIT ! Les Chroniques du Monde-des-Trois-Portes.

Ce qui suit est un texte que j'ai ecrit après 6 ans de création d'une histoire fantastique !


TOME I : Le Chateau des Nuages.

Partie 1 : LES ECLAIRES AZURES.


Chapitre 1 : La Fuite.

" Ce qui est passé a fui ; ce que tu espères est absent ;
mais le présent est à toi. "



Libre, tout en courant Max se sentait libre. Alors qu'il soupirait, il repensait à ce qu'il venait de faire. A 16 ans, il fuyait ; ses responsabilité, ses études, sa famille, sa vie. Il avait pris conscience qu'il n'avait rien à faire à l'école, ni chez lui.

Depuis qu'il était petit, Maxwell (car tel est son vrai nom) se sentait à part. Ses parents lorsqu'ils n'étaient pas partis en voyage, ne s'occupaient pas de lui ni de sa sœur Becci. Aucun d'eux ne connaissaient vraiment le sens de la famille. Il ne pouvait plus continuer à jouer dans cette pièce fausse de sens et décida donc de s'enfuir. Loin de sa famille malheureusement il devait aussi fuir son école et ses amis.

Maxwell était de ces garçons qu'on arrêtait pas de dire qu'il était beau, qu'il en briserait des coeurs mais qu'il ne se trouvait pas si irrésistible que ca ! Ni grand ni petit, ni mince ni gros, « ni beau ni laid », les cheveux ébouriffés, bruns et fins. Les yeux bruns foncé pour un regard ténébreux et la peau matte. Intelligent, courageux, sociale, sensible et charmeur. Maxwell avait tout pour devenir un bel homme.

Il avait décidé de courir vers la ville et là de prendre le train. Rien n'était réfléchie, c'était une simple pulsion ; il n'avait donc pas pensé à prendre de quoi manger pour la route, ni de quoi se désaltéré.

C'était une journée de printemps, une magnifique et ensoleillée après-midi. Il faisait chaud, il transpirait, il haletait comme un chien au bout de la moitié du chemin. Alors qu'il arrivait près d'un champ, il s'arrêta pour reprendre son souffle et qui sait : faire du stop. Ça faisait cinq minutes maintenant qu'il s'était arrêté et toujours aucune voiture à l'horizon, il avait du mal à reprendre son souffle.

Le soleil était cuisant, les gouttes perlaient sur son visage : sur ses joues, sur son front ! Il pensa même voir un mirage au loin dans le champ. Il y avait un épouvantail qui lui semblait en mouvements, Max se frotta les yeux : plus rien. Je deviens fou pensa-t-il. C'est vers ce moment-là qu'il regretta d'être parti. Pas d'être parti de chez lui mais de s'en aller sans avoir prévu de quoi se ravitailler.

Il devait continuer. Un chemin n'a qu'un sens c'est celui de prendre le bon, il se devait d'aller de l'avant, ne plus se retourner. La seconde moitié de la route lui sembla moins longue, moins contraignante. Il arrive en ville plus tôt qu'il ne l'aurait pensé. Alors qu'il atteignait son centre, il avait l'impression d'être regardé de tout le monde, dévisager, juger... Comme si tous savaient ce qu'il était en train de faire alors que lui-même n'en savait fichtrement rien. Quoi ? Que me voulez-vous ? Arrêtez de me regarder ? Pensa-t-il dire ! Maxwell avait la net impression de devenir paranoïaque.

Il eu un énorme soulagement lorsqu'il fu enfin a la gare, comme si le poids de l'absurdité de sa vie s'en était allé, comme si le fait d'être la, lui avait appris quelque chose : il n'avait jamais été a bon endroit à part chez elle.

vendredi 1 avril 2011

One April Two Thusand and Eleven.

Je t'aime plus que tout.  Plus que le soleil ne pourra jamais aimer la lune.

Passage de la letttre : De Orion à Orphen. Tiré des Chroniques du Monde-des-Trois-Portes.

Hier, (...)
Pour l'instant, le seul sujet sur lequel j'ai envie d'écrire ; c'est notre couple.
Rien d'autre ne m'inspire, je n'arrive plus à dessiner sans penser à nous et lorsque j'écris je ne pense qu'à toi !
Je ne veux pas dire que tu es une muse, mais je dessine et écrit que quand je vais mal !
Si tu veux vraiment que je t'écrive une déclaration, je vais te la faire mais pour toi, juste pour toi !
Que je sois heureux ou triste, je pense à toi. Lorsque j'ai peur, je veux que tu me consoles, que tu me prenne dans tes bras.
Mais tes bras m'attirent même si j'ai juste envie d'une enlaçade. Ne crois pas que j'aime ta présence que quand je vais mal.
Loin de là, dans tous les moments de la vie, j'ai envie de toi, envie d'être avec toi (...)à j
Lorsque je te sens sur moi, que je sens ton souffle dans mon coup, quand je t'écoute parler, respirer, je me sens heureux.
On a connu des coups bas,(...)
J'aime te voir, même si je dois te quitter dans l'heure, j'aime  (...)
Je t'aimerais à jamais . Orion.


Orphen.